Les caractéristiques du poste

Le poste de marionnettiste est moins prisé pour différentes raisons. La capacité personnelle en fait effectivement partie. Pour se lancer et percer dans ce métier, vous devez avoir une certaine aisance relationnelle. La base du travail d’un marionnettiste est d’amuser son public via les marionnettes. Il se doit de faire parler et de remuer ces pantins dans le but de créer une histoire. Ce métier date de plusieurs années auparavant et jusqu’à aujourd’hui, il est toujours accessible au grand public. En général, les marionnettes utilisées sont faites en bois, en tissu, en plastique ou en carton. Elles sont guidées à l’aide de tringles ou de fils à la main. Parfois, le marionnettiste produit des spectacles en solo ou par groupe pour perfectionner son travail et pour pouvoir interpréter divers rôles.

La voie à suivre pour devenir marionnettiste

Le métier d’un marionnettiste demande beaucoup d’agilité, d’imagination et d’un excellent sens de coordination. Pour mener à bien ces caractéristiques, vous devez suivre une formation d’art. L’acquisition de diplôme universitaire est facultative pour ce métier. En contrepartie, vous devez avoir un DNSPC ou diplôme national supérieur des arts de la marionnette. C’est un parcours qui dure 3 ans au sein de l’Esnam ou l’école nationale supérieure des arts de la marionnette. Ce centre de formation se trouve à Charleville-Mézière (08). Pour accéder à la sélection de cette constitution, vous devez passer 3 épreuves déterminantes : l’audition, le concours et le stage probatoire. En général, le poste de marionnettiste est accessible sous condition que vous ayez entre 18 ans et 26 ans et que vous ayez déjà une expérience d’un an au théâtre. Pour favoriser votre accès à l’Esnam, vous avez également une opportunité de suivre le programme du Théâtre aux Mains Nues.

Inspecter le matériel avant usage

Pour éviter tout risque d’accident, formez vos collaborateurs à l’élingage pour que l’inspection de matériel devienne pour eux un réflexe avant son usage. Ils auront ainsi l’habitude d’effectuer une inspection visuelle avant chaque levage. Ils vont vérifier les élingues pour s’assurer qu’il n’y a aucune trace d’usure, de déchirure, de corrosion ou de déformation. Les crochets, chaînes et autres accessoires doivent aussi être impeccables. Sachez qu’une déformation supérieure à 10% ou une étiquette de charge maximale illisible constitue un critère de rejet. Notez par ailleurs que les fiches techniques et certificats de conformité doivent accompagner chaque équipement. Enfin, n’oubliez pas qu’une maintenance régulière prolonge la durée de vie du matériel et contribue à une meilleure sécurité pour tous.

Adapter l’élingue à la charge

En suivant une formation élingage, vos collaborateurs sauront que :
Chaque charge demande une élingue qui lui est adaptée. Les élingues textiles conviennent aux objets fragiles, tandis que les chaînes résistent mieux aux environnements agressifs.
Le calcul de la charge maximale d’utilisation (CMU) est indispensable pour connaître les limites de l’équipement.
L’angle d’élingage ne doit jamais dépasser 60°, sous peine de surcharge.
Des protections pour les arêtes vives et un test d’équilibre avant tout levage vont réduire le risque de basculement ou de chute.

Communiquer clairement

La communication entre l’élingueur et le conducteur de grue repose sur des signaux codifiés. Ils sont conformes aux normes ISO ou locales. Par exemple, le geste « stop » ou le signe « levage lent » doivent être connus de tous. En cas de visibilité limitée, la radio ou une communication verbale permet d’effectuer la manœuvre en toute sécurité. Lors d’une formation élingage, vous apprenez ces codes. Vous évitez alors tout amalgame une fois sur le terrain. Vous saurez également que des briefings pré-opération et la présence d’un superviseur renforcent la coordination entre les membres d’une équipe et limitent les erreurs humaines.

Respecter la zone de sécurité

La zone de sécurité correspond à l’espace autour de la charge et de la grue. Elle est inaccessible aux personnes non concernées par la manœuvre. Ce périmètre protège des chutes d’objet. Rubans, barrières et panneaux le matérialisent. Le port d’équipements de protection individuelle, tels que casques et gilets, est obligatoire. Enfin, une surveillance continue permet d’évacuer rapidement le personnel en cas de danger imminent. La protection de tous les intervenants doit être une priorité. Toutes ces informations essentielles sont à apprendre au cours d’une formation élingage.

Transmettre un savoir ne se limite pas à expliquer un concept ou à suivre une méthode pédagogique. Le métier de formateur repose aussi sur des qualités humaines qui permettent de rendre l’apprentissage stimulant et efficace. Ces compétences, appelées soft skills, jouent un rôle essentiel pour engager son audience, adapter son discours et accompagner les apprenants dans leur progression.

Que l’on soit déjà formateur ou que l’on souhaite le devenir, il est important de connaître et de développer ces qualités. Dans cet article, plongez au cœur des soft skills incontournables pour faire la différence dans le domaine de la formation professionnelle.

1. L’écoute active : comprendre les besoins des apprenants

La première qualité d’un bon formateur est sa capacité à écouter. L’écoute active ne consiste pas seulement à entendre les mots prononcés, mais à comprendre les besoins, les attentes et parfois les blocages des apprenants.

Lorsqu’un formateur prend le temps d’écouter son public, il crée un environnement où chacun se sent valorisé et compris. Cette compétence est particulièrement importante dans les formations professionnelles, où les participants viennent souvent avec des objectifs précis ou des préoccupations spécifiques.

En pratiquant l’écoute active, un formateur peut ajuster ses contenus ou ses exemples pour répondre précisément aux besoins de son audience, augmentant ainsi l’efficacité et la satisfaction globale de la formation.

2. Une communication claire et impactante

Être expert dans un domaine ne garantit pas de savoir transmettre son savoir de manière claire et captivante. La communication est au cœur du métier de formateur. Il ne s’agit pas seulement de parler, mais de le faire avec précision, en adaptant son discours à son public et en utilisant des exemples concrets pour illustrer des concepts abstraits.

Un formateur compétent sait également utiliser le langage non verbal – gestes, posture, ton de voix – pour renforcer son message. Une bonne communication permet non seulement de transmettre des informations, mais aussi d’établir une connexion avec les apprenants, rendant le contenu plus engageant et mémorable.

3. L’adaptabilité : s’ajuster à chaque situation

Dans une salle de formation ou devant une caméra, chaque session est unique. Les apprenants viennent avec des niveaux de connaissances différents, des attentes variées et parfois des contraintes spécifiques. L’adaptabilité est donc une compétence clé pour tout formateur.

Être adaptable, c’est savoir ajuster le rythme de la session, reformuler un concept complexe si nécessaire, ou encore changer de méthode pédagogique en fonction des retours. Cette flexibilité permet de maintenir l’engagement des apprenants et de répondre à leurs besoins en temps réel, renforçant ainsi l’efficacité de la formation.

4. L’empathie : un moteur pour motiver et inspirer

La formation ne se limite pas à transmettre des savoirs techniques. Elle implique aussi une dimension humaine forte. L’empathie, ou la capacité à comprendre les émotions et les perspectives des autres, est une compétence essentielle pour un formateur.

Un apprenant en difficulté peut facilement se décourager. Un formateur empathique saura détecter ces signaux, apporter un soutien moral et adapter son approche pour aider la personne à surmonter ses obstacles. L’empathie contribue également à créer un climat de bienveillance et d’entraide, où chacun se sent encouragé à participer activement.

5. La gestion du temps et de l’énergie

La capacité à bien gérer son temps est un pilier fondamental pour tout formateur. Une session mal planifiée ou trop longue risque de perdre l’attention des apprenants et de réduire l’impact de la formation.

Un formateur doit savoir équilibrer les moments théoriques et pratiques, gérer les questions sans déborder sur le temps prévu et respecter les délais impartis. Par ailleurs, la gestion de l’énergie est tout aussi importante : maintenir une dynamique positive tout au long de la session demande de savoir alterner entre des moments de concentration intense et des pauses adaptées.

Pourquoi développer ses soft skills ?

Les soft skills sont souvent perçues comme des compétences « secondaires », alors qu’elles jouent un rôle crucial dans le succès d’une formation. Un contenu excellent mal transmis perd toute sa valeur. Ces compétences humaines permettent de captiver, de motiver et de transformer une simple session de formation en une expérience marquante et enrichissante.

Développer ces compétences ne s’improvise pas. Cela nécessite du travail, de la pratique et souvent une formation spécifique. C’est là qu’une solution comme la formation « Formateur Indépendant » de CréActifs prend tout son sens.

Conçue pour accompagner les professionnels souhaitant se lancer dans la formation ou améliorer leurs pratiques, cette formation offre des outils concrets pour structurer ses interventions, engager son public et transmettre efficacement son savoir. Elle aborde également les aspects techniques, juridiques et pédagogiques nécessaires pour réussir dans ce métier.

Les soft skills sont bien plus que des qualités annexes : elles sont la clé d’une formation réussie. L’écoute active, la communication, l’adaptabilité, l’empathie et la gestion du temps sont autant de compétences qui permettent à un formateur de transformer des savoirs en une véritable expérience d’apprentissage.

Quels sont les avantages des cours en lignes ?

Les cours en lignes présentent de grands avantages. Ils permettent de réduire certaines contraintes comme les déplacements. Certains cours sont dispensés par vidéo conférence, il vous suffit de vous connecter à la plateforme pour accéder aux leçons. Cependant, on gagne du temps en évitant les déplacements. Aussi, les cours en lignes permettent de faire des économies, sur le prix des matériels, car tout est souvent dématérialisé. Avec les cours en ligne ou « e-learning », vous accédez au cours en visioconférence, vous pouvez consulter les leçons sur plateforme dédiée.

Quelles sont les inconvénients des cours en ligne ?

Les étudiants qui pratiquent les cours en lignes sont plus ou moins désavantagés sur le plan sanitaire car ils passent énormément de temps devant l’écran. Ce qui peut engendrer des troubles pour leur santé, comme des maux de têtes, des douleurs visuelles, les mauvaises postures et d’autres problèmes physiques. Les cours en lignes diminuent aussi les interactions sociales. Les étudiants ont tendance à ressentir une sensation d’isolement, à cause du format individuel de cette méthode d’apprentissage. Un autre inconvénient également, la baisse d’engagement des apprenants, les jeunes sont les plus victimes du problème d’autodiscipline. De plus, ces derniers n’ont pas forcément la motivation de finir leur formation en ligne car il n’y a pas d’enseignant présent physiquement pour les motiver.

L’importance du BTS NRC

Le BTS NRC est une formation qui permet aux étudiants d’acquérir des connaissances dans le domaine du commerce. Les techniques relationnelles, la communication et les méthodes de négociation en rapport à la vente et à l’achat seront abordées durant les années d’études. Il est possible de suivre une formation en alternance pour monter rapidement en compétence dans ce cas. Sinon, les stages de fin d’études pourront servir à appliquer ce qui a été abordé en cours. Par ailleurs, les étudiants ayant obtenu ce diplôme seront aptes à intervenir dans les relations entre les clients et les entreprises. Fidéliser les clients, prospecter sur le terrain ou encore, gérer une équipe, telles sont les taches auxquelles ils feront face une fois arrivées dans le monde professionnel. En effet, les entreprises recherchent activement des commerciales et managers pour étendre leurs champs d’action et leurs chiffres d’affaires. Ils recherchent perpétuellement des individus ayant des compétences dans la vente, capable d’accroitre leurs chiffres d’affaires. Le BTS NRC est donc une diplôme et une compétence très recherché.

Obtenir un BTS NRC

Pour pouvoir suivre une formation en vue d’obtenir un BTS NRC, il faut tout d’abord posséder le bac. Peu importe dans ce cas qu’il s’agisse d’un bac professionnel, d’un bac technologique ou d’un bac général. Une fois que vous aurez intégré une formation, plusieurs matières seront à étudier. Parmi elles, vous avez les langues vivantes et étrangères obligatoires ou facultatives, la culture générale ainsi que d’autres matières plus spécialisées. À part cela, des stages feront également partie de la formation. Par ailleurs, il faut aussi savoir que de nouvelles matières sont disponibles suite aux changements qu’a subis le BTS NRC. Face aux nouvelles avancées de la technologie, les méthodes de mise en relations client, la vente et l’achat ont tous subi des changements aux cours des dernières années. Pour s’adapter à ces évolutions, le diplôme est désormais appelé BTS NRDC ou Négociation Relation et Digitalisation Clientèle. Ainsi, la nouvelle matière qui est la relation client à distance et digitalisation a été ajoutée au programme.

Quel est le mode de fonctionnement de l’OPCA ?

Proposer une formation en continu à ses employés est devenu indispensable pour les entreprises. Elles doivent également financer la formation professionnelle. L’OPCA peut se charger des actions de formation si l’entreprise se trouve submergée. Les contributions financières seront adressées à l’organisme et c’est qui se chargera d’adresser le financement à tous les bénéficiaires de la formation. L’OPCA ne se contente pas d’effectuer les frais de formation, il peut également prodiguer des conseils pratiques sur la mise en place d’un projet de formation en entreprise. Il se place au cœur du projet de plan de formation. Avec la loi du 5 mars 2014, les entreprises de plus de 10 salariés sont régies par un taux unique de 1 % sur les contributions à la formation. Ces entreprises doivent être établi des bordereaux uniques. Les OPCA sont également devenus les seuls guichets patents à recevoir les contributions à la formation des entreprises. Il collecte également les congés individuels de formation ainsi que les contributions au fond paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP). Les règles de financement sont définies par les OPCA. Il détermine les secteurs les plus prioritaires selon les différents secteurs d’activités dont il a la charge. En effet un OPCA peut être lié à plusieurs secteurs d’activités et un secteur d’activité peut être régi par une multitude d’OPCA.

L’OPCO le nouveau OPCA

Avec la loi du 5 septembre2018 connut également sous l’appellation « liberté de choisir son avenir professionnel », l’OPCA devient l’opérateur unique de récolte des contributions à la formation. Une nouvelle réforme a été ensuite mise en place pour créer l’OPCO ou Opérateurs de Compétences (OPCO). Celles-ci ont pour objectif de répondre aux nouveaux besoins des salariés et des entreprises en matière de formation. L’OPCO aide également dans la gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences (GPEC). Il définit également le niveau de prise en charge de chaque contrat d’apprentissage et de professionnalisation, de faciliter les accès à la formation professionnelle, d’optimiser les transitions professionnelles employées, et de proposer des services de proximité pour les petites et les moyennes entreprises.